Voici une invitation à choisir nos mots.
Albert Camus disait "Mal nommer les choses ajoute à la misère du monde."
Philippe Bloch, lui, invite à faire la chasse de certaines habitudes linguistiques en soulignant que les Français ont une fâcheuse tendance à utiliser des expressions qui sous-entendent du négatif.
"Bon courage" qui sous-entend beaucoup de dureté et de difficultés sans permettre que cela puisse être plus simple que prévu.
"Le problème, c'est que..." qui ajoute des problèmatiques même dans les toutes petites choses.
Le fameux "C'est tout?" des boulangeries par exemple qui voudrait que ce ne soit pas assez.
"Avant c'était mieux.." qui revient à comparer quelque chose qu'on a idéalisé et dont notre souvenir a probablement oublié les aspects plus inconfortables.
Le terrifiant "On fait aller" en réponse au "comment ça va ?" du matin.
Les tristounets "c'est pas mal", "bof."
Le "travail bien" des mamans qui accompagnent leurs enfants à l'école, au lieu d'un "amuse toi bien" beaucoup plus efficace pour l'apprentissage.
Sans oublier l'expression "prendre un risque" à laquelle les Américains préfèrent "Take a chance" qui signifie "saisi ta chance" autrement plus encourageant.
Il faut bien l'avouer, les Français ont la fâcheuse tendance à envisager les pires scénarios pour leur avenir et à parler de ce qui ne va pas plutôt que de qui va bien.
Comme si les médias ne suffisaient pas à faire le travail à notre place !
MAIS BONNE NOUVELLE ! En janvier 2012 une expérience a été faite sur les réseaux sociaux et, une pluie de statuts positifs à vu le jour, démontrant que les états émotionnels sont contagieux.
Le fabuleux pouvoir des mots.
Faisons résonner l'optimisme et redevenons attentif à ce qui va bien.
Thierry Saussez disait "L'une des clés de l'optimisme est la capacité à orienter notre regard et à mobiliser notre attention sur ce qui est positif, sur ce qui fonctionne."
Albert Camus disait "Mal nommer les choses ajoute à la misère du monde."
Philippe Bloch, lui, invite à faire la chasse de certaines habitudes linguistiques en soulignant que les Français ont une fâcheuse tendance à utiliser des expressions qui sous-entendent du négatif.
"Bon courage" qui sous-entend beaucoup de dureté et de difficultés sans permettre que cela puisse être plus simple que prévu.
"Le problème, c'est que..." qui ajoute des problèmatiques même dans les toutes petites choses.
Le fameux "C'est tout?" des boulangeries par exemple qui voudrait que ce ne soit pas assez.
"Avant c'était mieux.." qui revient à comparer quelque chose qu'on a idéalisé et dont notre souvenir a probablement oublié les aspects plus inconfortables.
Le terrifiant "On fait aller" en réponse au "comment ça va ?" du matin.
Les tristounets "c'est pas mal", "bof."
Le "travail bien" des mamans qui accompagnent leurs enfants à l'école, au lieu d'un "amuse toi bien" beaucoup plus efficace pour l'apprentissage.
Sans oublier l'expression "prendre un risque" à laquelle les Américains préfèrent "Take a chance" qui signifie "saisi ta chance" autrement plus encourageant.
Il faut bien l'avouer, les Français ont la fâcheuse tendance à envisager les pires scénarios pour leur avenir et à parler de ce qui ne va pas plutôt que de qui va bien.
Comme si les médias ne suffisaient pas à faire le travail à notre place !
MAIS BONNE NOUVELLE ! En janvier 2012 une expérience a été faite sur les réseaux sociaux et, une pluie de statuts positifs à vu le jour, démontrant que les états émotionnels sont contagieux.
Le fabuleux pouvoir des mots.
Faisons résonner l'optimisme et redevenons attentif à ce qui va bien.
Thierry Saussez disait "L'une des clés de l'optimisme est la capacité à orienter notre regard et à mobiliser notre attention sur ce qui est positif, sur ce qui fonctionne."
